1 janvier 2022



 SUD Emploi PACA a été créé il y a quelques dizaines d'années ...

 Sa dissolution au 31.12.2021 a été actée et enregistrée en mairie suite à la consultation des adhérents, après un constat d absence de volontaires pour prendre le relais de l animation et de la gestion du syndicat, faute d'énergies cumulées  pour continuer la route au Sud ...

Ce Syndicat autonome et indépendant, soucieux de l’intérêt de l’ensemble des salariés pourra renaitre ( tel le Phoenix 😉) dans un avenir prochain si les énergies  nécessaires existent.

Pour ne rien vous cacher, nous sommes fiers du bout de chemin parcouru ensemble, de notre conception du syndicalisme, de la défense de tous les  salariés, sans recherche de pouvoir, sans intérêt aucun…des actions engagées pour défendre un service public de qualité, le respect des missions, métiers et qualifications sans recours a l’externalisatlon ou à la sous-traitance … pour obtenir des conditions de travail décentes pour tous et des embauches pour faire face à la charge de travail 
 

C’est parce que SOLIDAIRES SUD EMPLOI  PACA se voulait partisan d’un syndicalisme de transformation sociale c'est-à dire l’émancipation de la femme et de l’homme pour qu’elles et ils puissent agir sur leur environnement professionnel et être acteur de leur vie. C’est pour faire vivre ce projet solidaire et interprofessionnel que nous étions affiliés avec d’autres organisations syndicales partageant les mêmes valeurs ( SUD TRAVAIL, …) à l’Union Syndicale Solidaires.  
 
La défense des salariés ne s’arrête pas une fois franchie la porte de l’entreprise. C’est ensemble, salarié(e)s du public et du privé, précaires et sans droit, que nous pouvons résister aux attaques du libéralisme. Aussi, à côté de notre intervention prioritaire en direction de notre établissement, nous participions aux mobilisations et aux mouvements anti-mondialisation et à ceux qui défendent les services publics, les chômeurs, les sans droit, qui combattent l’extrême droite, qui luttent contre le racisme, le sexisme, l’homophobie et toute autre forme de discrimination
 
 
Même sans Sud Emploi PACA , les luttes continuent  .... et la SOLIDARITE entre les gens entre les peuples  est plus que jamais indispensable 👪💥😉

 

19 septembre 2021

 

EN GREVE ET EN MANIFESTATION LE MARDI 5 OCTOBRE
 
POUR NOS MISSIONS, NOS EMPLOIS, NOS SALAIRES ET NOS CONDITIONS DE TRAVAIL

Solidaires SUD Emploi, la CGT Pôle emploi, FO Pôle emploi, le SNU Pôle emploi FSU, appellent l’ensemble du personnel de Pôle emploi à se mobiliser par la grève et les manifestations le mardi 5 octobre.

Depuis 18 mois, le gouvernement et le patronat utilisent la crise sanitaire pour accélérer la remise en cause de nos conquêtes sociales, notre droit du travail et nos libertés individuelles et collectives, provoquant un accroissement des inégalités, de l’exclusion et de la misère sociale.

 

 


22 juin 2021

La décision du juge des référés est tombée ... SUSPENSION🤗🤗 .... 

on attend la prochaine Etape  ABANDON ... de cette reforme 

 

Saisie par plusieurs syndicats qui contestaient la réforme de l’assurance-chômage, la juge des référés du Conseil d'État suspend les règles de calcul du montant de l’allocation chômage qui devaient entrer en vigueur le 1er juillet. En effet, les incertitudes sur la situation économique ne permettent pas de mettre en place, à cette date, ces nouvelles règles qui sont censées favoriser la stabilité de l’emploi en rendant moins favorable l’indemnisation du chômage des salariés ayant alterné contrats courts et inactivité. En revanche, la juge ne remet pas en cause le principe de la réforme elle-même.

 

https://www.conseil-etat.fr/actualites/actualites/assurance-chomage-les-nouvelles-regles-de-calcul-de-l-allocation-sont-suspendues

 

Après l’échec de négociations en 2018 avec les principaux syndicats de travailleurs et d’employeurs, le Gouvernement a pris le décret du 26 juillet 2019 (1) qui redéfinit le régime d’assurance-chômage. À la suite de son annulation partielle par le Conseil d’État en novembre 2020 (2), un nouveau décret du 30 mars 2021 (3) reprend, en les amendant, les dispositions relatives au mode de calcul de l’allocation chômage et à la contribution des employeurs.

Plusieurs syndicats, dont la CFDT, la CGT, FO, l’UNSA, la FSU, la CFE-CGC et l’Union syndicale solidaire, ont demandé au juge des référés du Conseil d'État de suspendre ce décret.

Une situation économique trop incertaine pour une application immédiate des nouvelles règles de calcul de l’allocation

Avec les nouvelles règles de calcul de l’allocation chômage, le Gouvernement poursuivait un objectif : favoriser les emplois durables. Le Gouvernement souhaitait pour ce faire rendre moins favorable l’indemnisation chômage des salariés alternant périodes d’emploi et périodes d’inactivité, mais aussi mettre en place un système de bonus-malus sur les cotisations chômage dues par les employeurs, pour inciter ces derniers à proposer des contrats longs.

La juge des référés du Conseil d’État observe qu’alors même que le contexte économique s’améliore ces dernières semaines, de nombreuses incertitudes subsistent quant à l’évolution de la crise sanitaire et ses conséquences économiques sur la situation de celles des entreprises qui recourent largement aux contrats courts pour répondre à des besoins temporaires. Or ces nouvelles règles de calcul des allocations chômage pénaliseront de manière significative les salariés de ces secteurs, qui subissent plus qu’ils ne choisissent l’alternance entre périodes de travail et périodes d’inactivité.

Alors que la réforme prévoit de différer au 1er septembre 2022 la mise en œuvre du système de bonus-malus pour les cotisations dues par les employeurs, précisément en raison des incertitudes sur l’évolution de la situation économique et du marché du travail, les nouvelles règles de calcul pour les salariés s’appliquent dès le 1er juillet prochain. La juge des référés considère qu’est sérieuse la contestation portant sur l’erreur manifeste d’appréciation entachant ainsi l’application immédiate de la réforme pour les salariés.

Pour cette raison, l’application des nouvelles règles de calcul des allocations pour les salariés qui perdront leur emploi à compter du 1er juillet 2021 est suspendue.

Après cette ordonnance rendue en urgence, les recours « au fond » des syndicats contre le décret réformant l’assurance-chômage seront jugés par le Conseil d’État d’ici quelques mois.

Lire la décision

 

11 juin 2021

Reforme Ass CHomage : Recours en conseil etat

  

 


 

Hier,  10 juin s'est tenue l'audience au Conseil d’État au sujet du recours contre le décret assurance chômage exercé par 7 organisations syndicales dont la nôtre ....  le représentant du gouvernement censé défendre le texte a été mis en  difficulté …


Le jugement en référé devrait être rendu la semaine prochaine ... A suivre 🤔

 

 

 

Quelques liens ci dessous pour en savoir plus


liberation.fr /au-conseil-detat-la-reforme-de-lassurance-chomage-mise-sur-le-grill-par-une-juge-dubitative


politis.fr//la-reforme-de-lassurance-chomage-au-crible-du-conseil-d-etat


www.lemonde.fr/les-decodeurs/des-ecarts-de-1-a-47-selon-les-beneficiaires-la-reforme-de-l-assurance-chomage-en-six-questionsl

19 mai 2021

Retrait de la reforme : appel convergence nationale et recours en conseil d'etat


https://solidaires.org/Journee-d-action-contre-la-reforme-de-l-assurance-chomage


Assurance chômage: les recours contre la réforme déposés vendredi : 

Les syndicats déposeront à la fois un référé-suspension et une saisine sur le fond. Les juges auront un mois pour se prononcer sur la suspension et éventuellement ensuite quatre mois pour examiner le fond.

Pour étayer leurs recours, les syndicats ont fait tourner les ordinateurs en multipliant les "cas-types" de "ruptures d’égalité" entre demandeurs d’emploi générées par la modification au 1er juillet du calcul du salaire journalier de référence (SJR), le cœur de la réforme.

Articles presse  :

www.lemonde.fr. reforme-de-l-assurance-chomage-une-nouvelle-version-entachee-d-un-risque-juridique

Des écarts de 1 à 47 selon les bénéficiaires : la réforme de l’assurance-chômage en six questions

l humanite.frles-consequences-de-la-reforme-pour-les-jeunes-et-les-precaires-707449

Video Mediapart : Assurance-chômage: «Cette réforme, c’est la fin de l’indemnisation du chômage»

"La réforme de l’assurance-chômage, elle passe, au forceps, malgré les inégalités criantes et la perte de revenu pour de nombreux allocataires. => Video ou l On en parle avec notre invité Mathieu Grégoire, sociologue, spécialiste de l’assurance-chômage et de la protection sociale à l’université de Paris-Nanterre, et avec Cécile Hautefeuille, de la rédaction."

Photo Pascal GUYOT/AFP




18 mai 2021

Photo Pascal GUYOT/AFP
 

Samedi 22 Mai : Journée nationale de mobilisation pour défendre notre assurance chômage !

Communiqué de presse  Solidaires du 18 mai 2021

Depuis le 4 Mars, des travailleurs-euses ont relancé courageusement la lutte contre la réforme de l’assurance chômage en occupant plus d’une centaine de lieux culturels. Ces travailleurs-euses précaires, intermittent-e-s du spectacle, intermittent-e-s de l’emploi ou encore étudiant-e-s se battent pour la défense d’un système d’assurance chômage qui permette d’assurer un revenu de remplacement à tou-te-s les travailleurs-euses.

La réforme en cours qui entrera en application le 1er Juillet prochain constitue la pire attaque contre l’assurance chômage depuis sa création. Elle entraînera, si on ne se mobilise pas contre elle, une baisse de 25% en moyenne des indemnités pour plus de 1,7 millions de travailleurs-euses sans emploi. Parmi les secteurs les plus concernés on trouve la restauration, le tourisme mais aussi la fonction publique avec ces nombreux contractuel-le-s.
Cette réforme fait l’unanimité des organisations syndicales contre elle depuis près deux ans, elle a été invalidée en partie en novembre dernier par le Conseil d’État en raison des injustices et inégalités qu’elle créait. Ces inégalités ont été à peine corrigées à telle enseigne qu’un décret rectificatif (sans substance) est déjà en cours de publication ! De nouveaux recours sont en cours de dépôt, notamment par Solidaires, la CGT et la FSU afin de faire censurer le nouveau calcul du salaire journalier de référence et les seuils d’indemnisations rehaussés. Malgré cela, le gouvernement au service des capitalistes persiste et s’accroche scandaleusement à cette réforme contre la population la plus modeste, ce qui confirme que seule une mobilisation populaire massive pourra lui mettre un coup d’arrêt définitif.

Avec cette réforme, dans la droite ligne des lois travail gouvernement et le patronat confirment leur projet : une société où les travailleurseuses doivent, pour survivre, accepter n’importe quel emploi, à n’importe quel salaire, dans n’importe quelles conditions. Face à cela, il faut construire et opposer un autre projet de société qui inclut notamment le droit au salaire et à sa continuité entre deux emplois : Je perds mon emploi, je garde mon salaire !

La seule limite au projet capitaliste, c’est la lutte toutes et tous ensemble !

L’union syndicale Solidaires appelle donc à participer à la journée de mobilisation pour la défense de l’assurance chômage du Samedi 22 Mai par la grève, les actions et la manifestation.

Lieux de rdv

(listes qui est complétée au fur et à mesure des retours)
- Avignon, 13h30 à la Cité Administrative
- Auch : 14h, rdv devant Pôle emploi
- Bayonne : 14h place de la Liberté
- Bordeaux : 13h, place de la Bourse
- Caen : 14h à la Boussole (quai Cafarelli)
- Laval : 17h, parvis du théâtre
- Le Mans : 14h, parvis des Quinconces
- Lorient : 14h, parvis du Théâtre
- Lyon : 14h, place de la Comédie, devant l’Opéra occupé
- Marseille : 10h devant le FRAC - 20 boulevard de Dunkerque
- Nantes : 12h place Graslin, "banquet de la colère"
- Nîmes : 11h, Maison Carrée
- Orléans : 14h, place de la Victoire
- Poitiers : 14h au TAP
- Paris : 13h devant l’Odéon
- Pau : 15h place Clémenceau
- Strasbourg : 13h, Campus universitaire, fac de Droit
- Toulouse : 14h, square Charles De Gaulle
- Tours : 14h place de la préfecture


 

Nos revendications

• L’abandon de la réforme de l’assurance chômage !
• L’indemnisation de 100 % des chômeurs.euses avec des allocations au minimum au SMIC, dès 18 ans,
• La prolongation de l’année blanche sur les droits au chômage pour les intermittent-e-s du spectacle et son élargissement aux intermittent-e-s de l’emploi laissé-e-s pour compte (comme les extras de l’hôtellerie-restauration-évènementiel, intérimaires, saisonniers…), et le rétablissement des dispositions de l’annexe 4 de l’assurance chômage pour elles et eux,
• L’extension du RSA aux jeunes de 18-25 ans, et la création d’un salaire étudiant,
• La suppression du décret de contrôle des chômeurs.euses de décembre 2018 et la défense d’un vrai service public de l’emploi, avec des moyens et du personnel,
• L’arrêt des CDD abusifs et leur transformation en CDI, qui doit être la norme d’embauche habituelle en tenant compte des particularités professionnelles (emplois discontinus).
• Un véritable statut du salarié.e incluant de nouveaux droits à l’assurance chômage garantissant la continuité du salaire entre deux emplois sans perte de qualification : je perds mon emploi, je garde mon salaire !
• Un vrai plan de lutte contre le chômage qui passe par l’interdiction des aides publiques et des licenciements dans les entreprises qui font des profits, la création massive de postes de titulaires dans les services publics, avec un vrai plan de titularisation sans condition des précaires, la création d’emplois réellement stables dans les secteurs utiles socialement et écologiquement.
• Le gestion de l’assurance chômage et de l’UNEDIC par les travailleurs-euses pour les travailleurs-euses.
• Augmentation immédiate de tous les salaires d’au moins 400€ et du SMIC à 1700€.
• Fin des exonérations, et hausse des cotisations sociales patronales pour financer notre sécurité sociale et l’assurance chômage.
• 32h de travail hebdomadaire sans perte de salaire !
• Interdiction des licenciements des entreprises qui font des profits ou qui organisent frauduleusement leurs pertes, arrêt immédiat des suppressions d’emplois dans la fonction publique et titularisation des emplois précaires.


15 avril 2021

reforme assurance chomage

 Tous en grève le 23 avril pour rejeter cette réforme de l'assurance chômage 

que le gouvernement veut mettre en application au 1er Juillet!!

Vous le savez, l'application de la  réforme de l'assurance chômage est prévue pour le 1er juillet prochain malgré les oppositions et rejets de cette réforme ... 

Solidaires et SUD  Emploi rejettent cette réforme et s'opposent à son application, comme l'indique la Fédé dans le tract ci joint. L'Union Syndicale Solidaires et la CGT entendent mobiliser le 23 avril contre cette réforme de l'assurance chômage

"En pleine crise sanitaire le gouvernement fait le choix de maintenir au 1er juillet 2021 sa réforme de l’assurance chômage qui modifie les conditions de prise en charge et le mode de calcul de l’allocation.

Retoquée par le Conseil d’Etat en première instance, elle est finalement revue et maintenue au prix de plus d’un million de personnes qui vont voir leurs allocations baisser jusqu’à plus de 40%. Les plus touchées seront celles qui alternent périodes travaillées et périodes de chômage, c’est- à- dire déjà les plus précaires. Nous rejoignons l’appel à faire du “vendredi de la colère” du 23 avril une journée de convergence pour l’abrogation de la réforme de l’assurance chômage. Un préavis de grève est déposé  en ce sens."





Dans ce contexte, l’Union syndicale Solidaires rejoint l’appel à faire du “vendredi de la colère” du 23 avril une journée de convergence pour l’abrogation de la réforme de l’assurance chômage, y compris par la grève, un préavis dans le secteur public est déposé en ce sens.



7 octobre 2020

reforme ass chomage

 

Assurance Chômage : C’est l’abrogation de la « réforme » qu’on veut !

Après avoir déclaré durant l’été différer une nouvelle fois l’application du 2e volet de la réforme de l’assurance chômage, le gouvernement a publié un décret le 29 juillet 2020. Il reporte entre autres l’application de la mesure la plus controversée (le nouveau calcul du salaire de référence) au 1er janvier 2021. 

Comme annoncées par le gouvernement, des "négociations" viennent de s’ouvrir sur le sujet. Sans surprise, le Ministère du Travail ne semble pas vouloir remettre en cause l’ensemble de son projet anti-social. Seuls quelques aménagements, minimes et temporaires, semblent se dessiner. Doit-on s’en satisfaire ? Certainement pas !